Rencontre - Begegnung: Die Nachhaltige Stadt | Transforme ta ville !
Zum AnfangRencontre de jeunes Francfort sur le Main - Lyon
La moitié de la population mondiale vit dans des villes qui sont responsables de la majorité des émissions mondiales de gaz à effet de serre. La rareté des ressources, les canicules, les systèmes de transport congestionnés et les inégalités sociales qui en résultent sont des défis que nous devons relever. En tant que zones métropolitaines, les villes ont néanmoins un grand potentiel pour façonner la mobilité et notre mode de vie : elles peuvent influencer durablement l'adaptation au changement climatique ainsi que notre mode de vie.
À quoi ressemble la ville européenne du futur ? Quels sont les changements nécessaires sur le plan social et écologique ? Et quel rôle peut-on jouer, en tant que jeune citoyen·ne, pour façonner activement la ville durable du futur ?
C'est précisément autour de ces questions, et notamment sur les thématique de « verdir la
ville » et de « mobilité », que la Stiftung Polytechnische Gesellschaft et le Goethe-Institut ont conçu en 2021 cette rencontre pour les jeunes, dont une seconde édition a eu lieu en 2023 grâce à la collaboration avec l'association Umweltlernen in Frankfurt e.V. et la Maison des Européens Lyon / EUROPE DIRECT Lyon Métropole. Pendant ces dix jours d’échanges, des conférences et des ateliers avec des expert·e·s en urbanisme durable, des discussions avec les responsables d’initiatives des villes, et des excursions passionnantes à Francfort-sur-le-Main et à Lyon ont été proposés. La rencontre a aussi compris des moments d’échanges et de réflexions ainsi que des ateliers linguistiques franco-allemands.
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Austausch für junge Menschen Frankfurt am Main - Lyon
Die Hälfte der Weltbevölkerung lebt in Städten, die gemeinsam für den überwiegenden Teil der weltweiten Treibhausgasemissionen verantwortlich sind. Ressourcenknappheit, Hitzewellen, Überflutungen, Trockenheit, Versiegelung, überlastete Verkehrssysteme und daraus resultierende soziale Ungleichheit sind Herausforderungen, denen wir uns stellen müssen. Gleichzeitig sind Städte aber auch zentrale Orte des Wandels und Fortschritts: Als Ballungsräume haben sie großes Potential, die Anpassung an den Klimawandel sowie unsere Lebensweise nachhaltig zu prägen. Wie sieht die europäische Stadt der Zukunft aus? Welche Veränderungen sind gesellschaftlich und ökologisch notwendig? Und welche Rolle kann man als junge*r Bürger*in einnehmen, um die nachhaltige Stadt der Zukunft aktiv mitzugestalten?
Genau zu diesen Fragen, und insbesondere zum Thema Grüne Stadt und Mobilität, haben die Stiftung Polytechnische Gesellschaft und das Goethe-Institut Lyon 2021 diesen Austausch für junge Menschen ins Leben gerufen, der 2023 von Umweltlernen in Frankfurt e.V., vom Goethe-Institut Lyon und von der Maison des Européens Lyon / EUROPE DIRECT Lyon Métropole durchgeführt wurde. Auf dem Programm standen Workshops und Vorträge mit Expert*innen sowie Aktivist*innen für nachhaltige Stadtentwicklung, Gespräche mit städtischen Vertreter*innen, spannende Exkursionen an Orte der Nachhaltigkeit in beiden Städten. Außerdem gab es praxisorientierte Workshops, Austausche in interkulturellen Gruppen und deutsch-französische Sprachworkshops.
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La rencontre
Deux premières rencontres ont eu lieu en ligne en avril et mai 2023 afin de préparer ensemble le projet. L'échange s’est tenu du 25 juin au 2 juillet 2023 : quatre jours à Francfort-sur-le-Main (du 25 au 28 juin, arrivée le 24 juin) et trois jours à Lyon (du 29 juin au 1er juillet, retour le 2 juillet). La rencontre a rassemblé des jeunes de 19 à 25 ans habitant ou/et étudiant à Francfort-sur-le-Main ou à Lyon qui s’intéressent aux sujets de la durabilité et du changement climatique et souhaitent échanger avec d’autres jeunes européen·ne·s.
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Der Austausch
Zwei erste digitale Treffen im April und Mai 2023 dienten der gemeinsamen Vorbereitung des Projekts. Der Austausch selbst fand vom 25. Juni bis 1. Juli 2023 statt: vier Tage in Frankfurt am Main (25. bis 28. Juni, Anreise der französischen Gruppe am 24. Juni), gemeinsame Reise nach Lyon am 28. Juni und drei Tage in Lyon (29. Juni bis 1. Juli, Rückreise der deutschen Gruppe am 2. Juli). Der Austausch hat junge Menschen zwischen 19 und 25 Jahren aus Frankfurt am Main oder Lyon zusammengebracht, die sich für Klimawandel und Nachhaltigkeit in der Stadt interessieren und die Lust haben, sich mit anderen jungen Menschen in Europa auszutauschen.
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Notre objectif
La rencontre a permis de mettre en réseau des jeunes de Francfort et de Lyon qui s’intéressent et s’engagent pour la transition écologique dans leur ville. Ainsi, elle a contribué à dynamiser l'échange interculturel au sein du jumelage des deux villes européennes. Lors de cette semaine, il s’agissait pour les participant·e·s d’identifier et de comprendre les défis sociaux et écologiques d'une municipalité, et transférer ce savoir dans un contexte européen. Pour cela, nous les avons invité·e·s à exprimer ces préoccupations au niveau local et européen, en échangeant avec des représentant·e·s politiques.
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Unser Ziel
Die Begegnung hat es ermöglicht, junge Menschen aus Frankfurt und Lyon, die sich für die nachhaltige Entwicklung in ihrer Stadt begeistern, miteinander zu vernetzen und so den interkulturellen Austausch innerhalb der Partnerschaft der beiden europäischen Städte zu beleben. Die Teilnehmenden konnten die sozialen und ökologischen Herausforderungen einer Stadtverwaltung kennenlernen und dieses Wissen in einen europäischen Kontext übertragen. Darüber hinaus war unser Ziel, diese Anliegen auf lokaler und europäischer Ebene durch Austausche mit politischen Vertreter*innen zu artikulieren.
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1er jour - 1. Tag
Activité du matinMatinée du dimanche 25 juin : visite guidée du quartier de Ostend avec Susanne Petry de Pier F.
Nous nous arrêtons particulièrement devant une maison en chantier : le bâtiment, qui comporte au moins huit appartements, est en pleine rénovation pour le rendre plus résistant aux fortes chaleurs et moins énergivore.
Activité de l’après-midiVisite du Green Office, une association d’étudiants qui s’engagent pour les thèmes de la durabilité à l’Université Goethe de Francfort-sur-le-Main, et son jardin en permaculture
Aktivität am VormittagVormittag am Sonntag, dem 25. Juni: Stadtführung durch das Ostend-Viertel mit Susanne Petry von Pier F.
Aktivität am Nachmittag
Weblinks
Goethe-Universität — Nachhaltigkeitsbüro der Goethe-Universität (uni-frankfurt.de)
2ème jour - 2. Tag
Activité du matin
Visite de la ferme urbaine de Francfort, une coopération des Gemüseheldinnen et de la jardinerie Anja Rappelt dans le quartier de Sachsenhausen
Droits d'image © Bernd Hartung
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Elles travaillaient l’une en tant que graphiste, l’autre en tant que conservatrice de musée. Elles entendaient parler du changement climatique et se sentaient impuissantes. Un jour, elles ont vu le film « Demain » de Cyril Dion, qui leur a fait découvrir le concept de la permaculture. Ni une, ni deux, elles s’y sont mises. Elles n’avaient pas de grand jardin, mais elles ont vu un terrain vague qui devait être construit dans quelques années : elles ont foncé. Elles n’avaient aucune autorisation, seulement la conviction qu’il fallait agir, verdir, produire de la nourriture pour la ville de Francfort, la rendre à nouveau autosuffisante « Frankfurt essbar machen », du moins autant que possible. De là est né un projet qui a, depuis, pris une ampleur formidable. Le terrain qu’elles avaient commencé à cultiver est finalement resté un jardin, et elles ont pu s’associer avec une cultivatrice francfortoise pour travailler sur de plus grands terrains. Leur exploitation s’est inspirée de la ferme du Bec-Hellouin en Normandie (Nord-Ouest de la France), une exploitation de 10 hectares en permaculture, tenue par Perrine et Charles Hervé Gruyer. Les Gemüseheldinnen ont repris certains de leurs outils.
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Elles nous emmènent voir leurs plantations, les courgettes gargantuesques et les mandalas aromatiques. Elles nous font goûter du plantain et des fleurs comestibles. Nous sommes impressionné·e·s par leur énergie et leur bonne humeur.
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Un coin de paradis, d’Ottilie Raschel
Jamais de ma vie je n'ai rencontré des femmes aussi passionnées et convaincues. Elles s'appellent elles-mêmes les héroïnes des légumes et s'appellent Laura et Juli. Elles sontdeux femmes qui partagent le même idéal et qui nous ont toutes impressionnées. Elles me rendent fière d'être une femme qui s'engage pour l'environnement.Avant de fonder la ferme urbaine de Francfort, elles se sentaient impuissantes face à la crise climatique, et elles étaient fatigués des obstacles bureaucratiques. C'est pourquoi elles ont décidé d'agir pour rendre Francfort "autosuffisante". Les Gemüseheldinnen ne sont pas seulement des personnes ayant un intérêt commun pour l'environnement, elles sont une communauté. Et leur jardin est plus qu'un lieu, c'est un lieu de vie.En haut : un avion qui décolle ou atterrit à l’aéroport de Francfort.En bas : des rangées de salades et des convictions à perte de vue.À Francfort, le paradis a changé de place.
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Nous déjeunons à midi de bons légumes du jardin avant de nous mettre en route pour la suite de notre programme.
Liens
GemüseheldInnen Frankfurt (gemueseheldinnen.de)
Activité de l’après-midiWorld Café avec quatre député·e·s de la ville de Francfort et la conseillère municipale et directrice de l’environnement Rosemarie Heilig
À 14h30, nous sommes reçu·e·s à la Stiftung Polytechnische Gesellschaft qui est située dans la Untermainanlage, à deux pas du Main. La consule générale de France à Francfort, Dr. Ilde Gorguet, prononce un discours à notre honneur. Ensuite, c’est à notre tour de prendre la parole face aux quatre élu·e·s de la ville que sont Dr. Katharina Knacker (du parti Les Verts), Thomas Schlimme (du parti Les Verts), Martin Frederick Hubert (du parti Volt), Kristina Luxen (du parti social-démocrate). Rosemarie Heilig, la conseillère municipale chargée du climat, de l’environnement et des femmes et elle aussi issue du parti Les Verts, s’attable aussi avec nous pour répondre à nos questions. Nous sommes réparti·e·s en groupes de trois ou quatre et avons quinze minutes pour poser nos questions à un·e député·e. Au bout d’un quart d’heure, nous changeons de table. Chacun·e peut échanger avec quatre représentant·e·s politiques en tout. Les transports (surtout la voiture), moratoire sur la démolition, protection de la biodiversité, désimperméabilisation des sols… les sujets sont variés et les échanges sont vifs.
Aktivität am Vormittag
Besuch der Frankfurter Stadtfarm, eine Kooperation der Gemüseheldinnen und der Gärtnerei Anja Rappelt im Stadtteil Sachsenhausen
Bildrechte © Bernd Hartung
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Die eine arbeitete als Grafikdesignerin, die andere als Kuratorin in einem Museum. Sie hörten immer wieder vom Klimawandel und fühlten sich machtlos. Eines Tages sahen sie den Film "Tomorrow" von Cyril Dion, der sie auf das Konzept der Permakultur aufmerksam machte. Sie fingen an, sich damit zu beschäftigen. Sie hatten keinen großen Garten, aber sie sahen ein ungenutztes Grundstück, das in einigen Jahren bebaut werden sollte. Sie hatten keine Genehmigung, nur die Überzeugung, dass sie etwas tun mussten, grün werden, Lebensmittel für die Stadt Frankfurt produzieren und sie wieder autark machen („Die essbare Stadt“), zumindest so weit wie möglich. Daraus entstand ein Projekt, das sich seitdem zu einer beeindruckenden Größe entwickelt hat. Das Land, das sie zu bebauen begonnen hatten, blieb schließlich ein Gemüsegarten, und sie konnten sich mit einer Frankfurter Landwirtin, Anja Rappelt, zusammenschließen, um auf größeren Flächen zu arbeiten. Für ihre Stadtfarm haben sich die Gemüseheldinnen von der Ferme du Bec-Hellouin in der Normandie (Nordwestfrankreich) inspirieren lassen. Die Ferme du Bech-Hellouin ist ein 10 Hektar großer Permakultur-Betrieb, der von Perrine und Charles Hervé Gruyer geführt wird. Die Gemüseheldinnen haben einige ihrer Tools übernommen.
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Sie nehmen uns mit zu ihren Anpflanzungen, den gigantischen Zucchini und den Kräuterspiralen. Sie lassen uns Spitzwegerich und essbare Blumen probieren. Wir sind von ihrer Energie und ihrer guten Laune beeindruckt.
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Ein Stück Paradies, von Ottilie Raschel
Nie in meinem Leben habe ich so leidenschaftliche und überzeugte Frauen getroffen. Sie nennen sich selbst die Gemüseheldinnen und heißen Laura und Juli. Sie sind zwei Frauen mit demselben Ideal, die uns alle beeindruckt haben. Sie machen mich stolz darauf, eine Frau zu sein, diesich für die Umwelt einsetzt. Bevor sie die Frankfurter Stadtfarm gründeten, empfanden sie ein Ohnmachtsgefühl angesichts der Klimakrise und waren der bürokratischen Hürden überdrüssig. Deshalb haben sie beschlossen, zu handeln, um Frankfurt “essbar”zu machen. Die Gemüseheldinnen sind nicht nur Personen mit einem gemeinsamen Interesse für die Umwelt, sie bilden eine Gemeinschaft. Und ihr Garten ist mehr als ein Ort, es ist ein Lebensort.Oben: Ein Flugzeug startet oder landet auf dem Flughafen in Frankfurt am Main.Unten: Reihen von Salaten und Überzeugungen, soweit das Auge reicht, bis zum Horizont.In Frankfurt hat das Paradies seinen Platz gewechselt.
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Mittags essen wir leckeres Gemüse aus dem Garten, bevor wir mit dem weiteren Programm fortfahren.
Weblinks
GemüseheldInnen Frankfurt (gemueseheldinnen.de)
Aktivität am NachmittagWorld Café mit vier Abgeordneten der Stadt Frankfurt sowie der Stadträtin und Umweltdezernentin Rosemarie Heilig
Um 14:30 Uhr werden wir von der Stiftung Polytechnische Gesellschaft empfangen, die sich in der Untermainanlage, nur wenige Schritte vom Main entfernt, befindet. Die französische Generalkonsulin Dr. Ilde Gorguet in Frankfurt hält eine Rede, dann sind wir an der Reihe, mit den vier Stadtverordneten Dr. Katharina Knacker (Die Grünen), Thomas Schlimme (Die Grünen), Martin Frederick Hubert (Volt) und Kristina Luxen (SPD) zu sprechen. Rosemarie Heilig, Dezernentin für Klima, Umwelt und Frauen, die ebenfalls der Partei Die Grünen angehört, sitzt ebenfalls bei uns und beantwortet unsere Fragen. Wir werden in Dreier- oder Vierergruppen eingeteilt und haben 15 Minuten Zeit, um unsere Fragen an einen*r Abgeordneten zu stellen. Nach einer Viertelstunde wechseln wir den Tisch.Jede*r kann mit insgesamt vier politischen Vertreter*innen sprechen. Mobilität (vor allem das Thema Auto), Abrissmoratorium, Schutz der Artenvielfalt, Entsiegelung von Böden... Die Themen sind vielfältig und der Austausch ist lebhaft.
3ème jour - 3. Tag
Activité du matinTraversée de Francfort à vélo et visite du quartier du Riedberg avec Claudia Ewers de l’initiative pour le climat du Riedberg
Claudia Ewers, de l’initiative pour le climat du quartier de Riedberg, nous y attend et nous propose une visite du quartier. Pour rendre le quartier plus résilient, l’initiative travaille sur plusieurs axes, notamment les transports, la végétalisation, les énergies renouvelables et l’isolation des bâtiments. Nous discutons de panneaux solaires et de vélo-cargo : le quartier a un seul vélo-cargo disponible pour les locations, la demande est pourtant forte.
Nous déjeunons sur le Riedbergplatz, dans un îlot végétal à roulettes (« grünes Zimmer »).
Activité de l’après-midi Visite de l’ancien aéroport de Bonames avec Frieder Leuthold des services pour l’environnement de la ville de Francfort-sur-le-Main
À l’ancien aéroport de Bonames, Frieder Leuthold, des services de l’environnement de la ville, nous reçoit. Il nous explique en quelques mots l’histoire de ce lieu, ancien aéroport de l’armée américaine désaffecté à partir de 1992.
La ville de Francfort a récupéré l’ancien aéroport de Bonames, un lieu de 4,5 hectares, et l’a intégré à son projet de Grüngürtel (ceinture verte) en le transformant en lieu de loisirs et de préservation de la nature. Une partie de l’ancien aéroport est utilisée par les skateurs·ses et les citadin·e·s en manque de verdure, par les cyclistes ou encore par les promeneur·se·s de chiens.
Une partie de l’ancien aéroport est devenue un espace naturel protégé : le sol en béton y a été fracturé, laissant des morceaux plus ou moins gros et divers espaces pour la nature.
Lien(s)
Alter Flugplatz | Stadt Frankfurt am Main
Aktivität am VormittagMit dem Fahrrad durch Frankfurt und Besuch des Stadtteils Riedberg mit Claudia Ewers von der Klimaschutz-Initiative Riedberg
Dort erwartet uns Claudia Ewers von der Klimaschutz-Initiative Riedberg und bietet uns einen Rundgang durch den Stadtteil an. Um den Stadtteil resilienter zu machen, arbeitet die Initiative zu mehreren Schwerpunkten, darunter Verkehr, Begrünung, erneuerbare Energien und Gebäudeisolierung. Wir unterhalten uns über Sonnenkollektoren und Lastenfahrräder: Das Viertel hat nur ein einziges Lastenfahrrad, das zur Vermietung zur Verfügung steht, obwohl die Nachfrage groß ist.
Weblinks
Klimaschutz-Initiative Riedberg (klimaschutz-initiative-riedberg.de)
Aktivität am NachmittagBesuch des Alten Flugplatzes Bonames mit Frieder Leuthold vom Umweltamt der Stadt Frankfurt am Main
Am Alten Flugplatz Bonames empfängt uns Frieder Leuthold vom Umweltamt der Stadt. Er erklärt uns kurz die Geschichte dieses Ortes, eines ehemaligen Flughafens der US-Armee, der ab 1992 stillgelegt wurde.
Die Stadt Frankfurt übernahm das 4,5 Hektar große Gelände des Alten Flugplatzes Bonames und integrierte es in ihr Grüngürtel-Projekt, indem sie es in einen Ort der Erholung und des Naturschutzes verwandelte. Ein Teil des ehemaligen Flughafens wird von Skateboarder*innen und Stadtbewohner*innen genutzt, die sich nach Grün sehnen, von Radfahrern und Spaziergängern mit Hunden.
Ein Teil des Alten Flugplatzes wurde zu einem Naturschutzgebiet: Der Betonboden wurde aufgebrochen. Betonstücke in unterschiedlichen Korngrößen sind auf dem Gelände verteilt, dazwischen sind diverse Räume für die Natur entstanden.
Weblink
Alter Flugplatz | Stadt Frankfurt am Main
4ème jour - 4. Tag
Activité du matinVisite du centre de Francfort autour de la thématique des transports avec Heiko Nickel des services de la mobilité de la ville de Francfort
Droits d’image © Bernd Hartung
Ce mercredi matin, c’est à 250 mètres de la Hauptwache, en plein cœur de Francfort, que nous retrouvons Heiko Nickel des services de la mobilité de la ville de Francfort. Il se présente rapidement, nous explique en quelques mots son parcours et son engagement au sein du Radentscheid Frankfurt, ou référendum sur le vélo. Il s’agit d’une initiative citoyenne réclamant davantage de place pour le vélo et les mobilités douces en général. Depuis, il existe plusieurs initiatives comparables dans d’autres villes allemandes, encore très avantageuses pour le transport automobile.
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Heiko Nickel nous mène dans les sous-sols du métro pour nous montrer l’affluence dans la station de la Hauptwache. En tout, 26 900 personnes se déplacent chaque heure avec le métro à Francfort.
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Si l’on voulait transporter en voiture les quelque 26 900 personnes qui utilisent le métro de Francfort chaque heure de la journée, il ne faudrait pas moins qu’une autoroute à 13 voies ! Le calcul est vite fait : la voiture, si elle ne doit pas nécessairement disparaître, n’est pas une solution pérenne pour le transport dans les grandes villes.
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Heiko Nickel nous fait observer certains aménagements urbains. Certains quartiers doivent devenir des “superblocks”, à l’image de ces pâtés de maison barcelonais dans lesquels les voitures ne peuvent plus que passer et non plus se garer, ce qui permet entre autres de laisser les commerces (notamment les restaurants) s’étendre sur la chaussée. Certaines voies sont déjà en sens unique ou piétonisées.
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Heiko Nickel nous dévoile plusieurs aspects du projet de transformation des mobilités de la ville de Francfort, appelé “Masterplan Mobilität” (plan directeur pour les mobilités). Ce plan vise une plus grande équité entre les divers modes de transport et davantage de mobilités actives.
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“Un tram de 24 mètres de long peut permettre à 109 personnes de se déplacer. Pour deux bus de 12 mètres de long chacun, c’est 149 personnes. Dans six voitures, de 4 mètres de long chacune, ce sont seulement 7 personnes qui se déplacent.”
Activité de l’après-midi
Aktivität am VormittagSpaziergang durch die Frankfurter Innenstadt rund um das Thema Verkehr mit Heiko Nickel vom Dezernat für Mobilität der Stadt Frankfurt am Main
An diesem Mittwochmorgen treffen wir uns 250 Meter von der Hauptwache entfernt, im Herzen Frankfurts, mit Heiko Nickel vom Amt für Mobilität der Stadt Frankfurt. Er stellt sich kurz vor, erklärt uns seinen Werdegang und sein Engagement für den Radentscheid Frankfurt. Dabei handelt es sich um eine Bürgerinitiative, die mehr Platz für das Fahrrad und die sanfte Mobilität im Allgemeinen fordert. Mittlerweile gibt es in vielen deutschen (immer noch sehr autogerecht ausgestalteten) Städten vergleichbare Initiativen.
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Heiko Nickel führt uns in den Untergrund der U-Bahn und zeigt uns den Andrang in der Station Hauptwache. Insgesamt 26.900 Menschen fahren jede Stunde mit der Frankfurter U-Bahn.
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Wollte man all diese 26.900 Personen, die jede Stunde in Frankfurt mit der U-Bahn fahren, mit dem Auto transportieren, bräuchte man nicht weniger als eine 13-spurige Autobahn! Die Rechnung ist schnell gemacht: Das Auto muss zwar nicht unbedingt verschwinden, ist aber keine dauerhafte Lösung für den Verkehr in Großstädten.
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Heiko Nickel zeigt uns einige Stadtentwicklungen. Einige Viertel sollen zu "Superblocks" werden, nach dem Vorbild der Häuserblocks in Barcelona, in denen Autos nur noch durchfahren und nicht mehr parken dürfen, was unter anderem dazu führt, dass sich die Geschäfte (insbesondere Restaurants) auf der Straße ausbreiten können. Einige Straßen sind bereits Einbahnstraßen oder Fußgängerzonen.
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Heiko Nickel gibt uns einen Einblick in den "Masterplan Mobilität" der Stadt, mit dem die Mobilität in Frankfurt umgestaltet werden soll. Der Masterplan zielt auf mehr Gerechtigkeit zwischen den verschiedenen Verkehrsmitteln und mehr aktive Mobilität ab.
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"Mit einer 24 Meter langen Straßenbahn können sich 109 Personen fortbewegen. In zwei Bussen, die jeweils 12 Meter lang sind, sind es 149 Personen. In sechs Autos, die jeweils 4 Meter lang sind, sind es nur 7 Personen, die sich fortbewegen können".
Aktivität am Nachmittag
5ème jour - 5. Tag
Activité du matin
Droits d'image © Natasha Vayre
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Ancienne caserne militaire, ce lieu est devenu un parc en 2013 suite à une mobilisation des riverain·e·s en manque d’espace vert. Ce jardin public est le résultat de compromis : si la ville a accepté de transformer l’ancienne caserne en parc, c’était à la condition que cette transformation ne soit pas trop chère. Dès lors, l’on a renoncé à casser la grande dalle de béton qui servait jadis aux parades. Composer avec l’existant est un principe essentiel d’aménagement durable. Dans la grande cour centrale, une école en préfabriqués a été installée pour pallier le manque de locaux. Malheureusement, en cette journée estivale, la dalle est un véritable cagnard.
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Avec le botaniste, nous découvrons des espaces du parc consacrés à la préservation de la biodiversité. Certains sont calmes et ombragés, de vrais paradis de fraîcheur. Les oiseaux chantent gaiement. Dans un quartier presque exclusivement bétonné, comme celui autour du Parc Blandan, les arbres et la végétation sont essentiels, notamment pour lutter contre les îlots de chaleur. Avec la hausse rapide des températures, l’on opte pour des mélanges de graines avec des plantes méditerranéennes, qui s'accommodent bien de la sécheresse du sol. Ces expérimentations permettent de déterminer quel type de végétation résiste bien au nouveau climat lyonnais. Même les espèces invasives comme l'ailante sont vues comme une bénédiction en période de changement climatique, car elles poussent là où rien d'autre ne pousse. Comme on ne veut pas seulement des arbres, mais aussi des prés, on fauche une fois par an, en automne, une fois que la période de reproduction est passée. Environ 50% du parc est constitué d'espaces fermés interdits d'accès où la nature peut s'exprimer de manière sauvage sans que l'Homme ne vienne la déranger. Après que l’on a fait l’expérience de laisser pousser la végétation dans le Parc de la Tête d'Or pendant le premier confinement, l’acceptation sociétale de ce genre d’espace sauvage a évolué de manière positive. Mais cela ne suffit pas. Thomas Boutreux et son équipe ont un objectif plus ambitieux : obtenir que la ville de Lyon mette à disposition un espace vert pour chaque nouvelle construction.
Droits d'image © Natasha Vayre
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Pour clore notre visite du parc, Thomas Boutreux nous répartit en plusieurs groupes et nous propose diverses activités. Cyanotypie, photographie, enregistrements des sons du parc, dessins, interviews de passant·e·s : c’est à notre tour de partir à la découverte du parc.
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Activité de l’après-midiAtelier jardinage avec Morgane Guillas de l’association Graines urbaines (Vaux-en-Velin)
Après un pique-nique dans le Parc Blandan, nous prenons le métro direction Vaux-en-Velin.
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C’est là que nous retrouvons Morgane de l’association “Graines Urbaines”. Elle nous a aménagé un coin d’ombre dans son jardin. Elle nous présente rapidement “Graines Urbaines” : cette association a pour mission de former les citoyens urbains au savoir-faire du jardin pour recréer le lien entre nature, ville et alimentation. Pour cela ils animent des ateliers pédagogiques autour de la thématique du jardin en ville dans leur jardin pédagogique et participatif. Les villes périphériques autour de Lyon étaient autrefois à fonction agricoles, ce afin de nourrir Lyon. Avec l'industrialisation sont apparues les usines et donc les cités ouvrières. Aujourd'hui, il y a de nouveau quelques initiatives agricoles à Vaulx-en-Velin, mais elles ne sont ni professionnelles, ni à grande échelle.
Puis, elle nous propose de mettre la main à la pâte, ou plutôt à la terre. Nous bouturons de la menthe glaciale, du sureau ou du romarin.
Morgane nous explique quelques principes de marcottage et nous montre fièrement son mandala de plantes aromatiques, qui nous rappelle celui des Gemüseheldinnen (voir lundi 26 juin). Ravi·e·s, nous repartons avec des pots de plantes aromatiques ou de roquette, direction : la cité des Halles.
Présentation de la Cité Anthropocène par Valérie Disdier, sa présidente, à la Cité des Halles (Lyon 7)
Valérie Disdier, présidente de la Cité Anthropocène, nous y retrouve. Elle nous présente son initiative, d’abord en lien avec l’école urbaine de Lyon, puis devenu indépendante. Ensuite, nous nous divisons en plus petits groupes pour découvrir les résident·e·s de la Cité des Halles, ce tiers lieu installé dans une ancienne friche industrielle. La Cité des Halles est une ancienne usine de câbles qui sert de centre culturel éphémère depuis 2021 et ce, jusque décembre 2024. Avec plusieurs artisans de la région comme locataires, le projet vise à la fois à promouvoir l'artisanat local et à servir de lieu de rencontre. Il veut également montrer que les bâtiments vides peuvent (temporairement) être utilisés à d'autres fins.
“Transformer notre ville afin qu'elle soit plus durable passe notamment par une réappropriation de l'espace urbain par les citoyens”.
Liens
Graines Urbaines | Ateliers autour du jardin en ville
Cité Anthropocène (cite-anthropocene.fr)
La Cité des Halles - Accueil (lacitedeshalles.com)
Aktivität am VormittagSpaziergang und Entdeckungsworkshop mit dem Botaniker Thomas Boutreux im Parc Blandan
Bildrechte © Natasha Vayre
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Dieser Ort war früher eine Militärkaserne und wurde 2013 in einen Park umgewandelt. Dies geschah auf die Initiative von Anwohnerinnen und Anwohnern hin, denen es an Grünflächen mangelte. Dieser öffentliche Garten ist das Ergebnis von Kompromissen: Zwar stimmte die Stadt der Umwandlung der ehemaligen Kaserne in einen Park zu, doch nur unter der Bedingung, dass diese Umwandlung nicht zu teuer werden würde. Daher wurde darauf verzichtet, die große Betonplatte, die früher für Paraden genutzt wurde, aufzubrechen. Der Umgang mit dem Bestehenden ist ein wichtiger Grundsatz für eine nachhaltige Planung. Auf dem großen zentralen Hof steht derzeit eine Schule aus Fertigteilen, um den Mangel an Räumlichkeiten zu beheben. An diesem Sommertag ist die Bodenplatte eine wahre Gluthitze.
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Mit dem Botaniker entdecken wir Bereiche des Parks, die dem Erhalt der Artenvielfalt gewidmet sind. Einige sind ruhig und schattig, ein echtes Paradies. Vögel singen. In einem Viertel wie das, in dem sich der Parc Blandan befindet, das fast ausschließlich aus Beton besteht, ist Vegetation unerlässlich. Die Verwendung von Samenmischungen mit mediterranen Pflanzen, die mit trockenem Boden gut zurechtkommen, wird im Parc Blandan erprobt. Dabei geht es darum, herauszufinden, welche Art von Vegetation sich dem neuen Klima anpassen kann. Selbst invasive Arten wie die Knoblauchsrauke sind in Zeiten des Klimawandels ein wahrer Segen, da sie dort wachsen, wo sonst nichts wächst. Da man nicht nur Bäume, sondern auch Wiesen haben möchte, wird einmal im Jahr im Herbst gemäht, wenn die Brutzeit vorbei ist. Etwa 50 % des Parks bestehen aus geschlossenen Bereichen, die nicht betreten werden dürfen so dass sich die Natur wild ausbreiten kann, ohne dass der Mensch sie stört. Nachdem im Parc de la Tête d'Or in der Zeit des Lockdowns die Vegetation über Monate ohne Eingriffe wachsen konnte, hat sich die gesellschaftliche Akzeptanz dieser Art von Räumen positiv entwickelt. Doch das reicht noch nicht aus. Thomas Boutreux und sein Team haben ein ehrgeizigeres Ziel: Sie wollen, dass die Stadt Lyon bei jedem Neubau eine Grünfläche zur Verfügung stellt.
Bildrechte © Natasha Vayre
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Zum Abschluss unseres Rundgangs durch den Park teilt uns Thomas Boutreux in mehrere Gruppen ein und bietet uns verschiedene Aktivitäten an. Cyanotypie, Fotografie, Aufnahmen von Geräuschen im Park, Zeichnungen, Interviews mit Passanten: Jetzt sind wir an der Reihe, den Park zu erkunden.
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Aktivität am NachmittagGartenworkshop mit Morgane Guillas vom Verein Graines urbaines (Vaux-en-Velin).
Nach einem Picknick im Parc Blandan nehmen wir die Metro in Richtung Vaux-en-Velin.
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Dort treffen wir Morgane vom Verein “Graines Urbaines”. Sie hat in ihrem Garten ein schattiges Plätzchen für uns eingerichtet. Sie stellt uns “Graines Urbaines” vor. Dieser Verein hat sich zum Ziel gesetzt, städtische Bürger im Gartenwissen zu schulen, um die Verbindung zwischen Natur, Stadt und Ernährung wiederherzustellen. Dazu führen der Verein in seinem pädagogischen und partizipativen Garten Workshops rund um das Thema Garten in der Stadt durch. Die Städte in der Umgebung von Lyon waren früher landwirtschaftlich geprägt, um Lyon zu ernähren. Mit der Industrialisierung kamen die Fabriken und damit auch die Arbeitersiedlungen. Heute gibt es in Vaulx-en-Velin wieder einige landwirtschaftliche Initiativen, aber sie sind weder professionell noch großflächig.
Morgane schlägt uns vor, selbst Hand anzulegen. Wir vermehren Eisminze, Holunder oder Rosmarin mit Stecklingen.
Morgane zeigt uns stolz ihre Kräuterspirale, die uns an die Kräuterspirale der Gemüseheldinnen erinnert (siehe Montag, 26. Juni). Mit Töpfen voller aromatischer Pflanzen oder Rucola machen wir uns auf den Weg in Richtung Cité des Halles.
Vorstellung der Cité Anthropocène durch Valérie Disdier, ihre Präsidentin, in der Cité des Halles (Lyon 7)
Wir treffen Valérie Disdier, die Vorsitzende der Cité Anthropocène, direkt vor Ort. Sie stellt uns ihre Initiative vor, die zunächst in Verbindung mit der École urbaine de Lyon stand und später unabhängig wurde. Anschließend teilen wir uns in kleinere Gruppen auf, um die Bewohnerinnen und Bewohner der Cité des Halles, die in einer ehemaligen Industriebrache eingerichtet wurde, kennenzulernen.Die Cité des Halles ist eine ehemalige Kabelfabrik, die seit 2021 und voraussichtlich bis Dezember 2024 als vorübergehendes Kulturzentrum dient. Mit mehreren Handwerksbetrieben aus der Region zur Miete will das Projekt sowohl das lokale Kunsthandwerk fördern als auch als Treffpunkt dienen. Es will auch zeigen, dass leerstehende Gebäude (vorübergehend) für andere Zwecke genutzt werden können.
“Die Umgestaltung unserer Stadt, um sie nachhaltiger zu machen, erfolgt vor allem durch die Wiederaneignung des städtischen Raums durch die Bürger”.
Weblinks
Graines Urbaines | Ateliers autour du jardin en ville
Cité Anthropocène (cite-anthropocene.fr)
La Cité des Halles - Accueil (lacitedeshalles.com)
6ème jour - 6. Tag
Activité du matinBalade à vélo à Lyon avec Siméon Baldit de Barral de l’association On The Green Road
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Vendredi 30 mai : Lyon est sous la pluie. Nous enfilons des k-way et des gilets de sécurité pour une visite de Lyon à vélo, du Goethe-Institut au tunnel de la Croix-Rousse, en longeant les quais du Rhône puis ceux de la Saône.
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Dans le tunnel de la Croix-Rousse.
C’est Siméon, de On The Green Road, une association qui promeut des modes de transport et de voyage doux et écoresponsables, qui nous sert de guide. On the Green Road est une association créée par deux cousins ; elle accompagne à la préparation de voyages humainement riches et responsables en mettant l’accent sur le choix du transport le plus propre et la compensation carbone de ces trajets. L’idée est d’inciter à ne pas simplement cocher une case dans une liste de pays, mais de créer des moments de partages uniques en découvrant des cultures.
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L’ambiance est électrique à Lyon depuis mardi soir : des émeutes ont éclaté dans la ville en réaction à la mort d’un jeune homme sous le tir à bout portant d’un policier lors d’un contrôle routier.
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Siméon nous montre les projets des Voies Lyonnaises : de grands axes de pistes cyclables qui traverseront Lyon et relieront des communes telles que Quincieux et Givors sur 56 km ou encore Jonage et Saint-Genis-Laval (37 km). En 2030, il y aura 13 lignes de Voies Lyonnaises, ce qui représente 355 km de voirie ! En ce mois de juin 2023, l’on peut déjà voir des bribes de ce gigantesque réseau, notamment sur les berges du Rhône.
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La métropole de Lyon a de grandes ambitions pour le développement du vélo dans et autour de la ville.
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Déjeuner-causerie avec Hélène Dromain, vice présidente de la métropole de Lyon
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À midi, nous rejoignons, affamé·e·s, le Goethe-Institut de Lyon, où nous attend un déjeuner-causerie avec Hélène Dromain, la vice présidente de la métropole de Lyon en charge des délégations des Relations européennes et internationales, de la Coopération décentralisée et du tourisme.
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Entre deux bouchées, nous posons des questions à Hélène Domain sur les projets de transformation des transports, sur les stratégies de la métropole pour rendre le tourisme fluvial plus écologique, sur la gestion des pollutions au perfluorés dans la Vallée de la Chimie…
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Activité de l’après-midiPrésentation du budget participatif avec Nicole Crochet de la Ville de Lyon
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Vers 14h00, après une heure et demie d’échanges avec Hélène Dromain, Nicole Crochet, cheffe de Projet du Budget Participatif de la ville de Lyon, nous présente les grandes lignes de ce projet, initié par la ville en 2022. Il s’agit d’une dotation de 25 millions d’euros pour financer des projets proposés et adoptés par les Lyonnais·es. Avec cette enveloppe, deux éditions sont prévues : l’une a déjà eu lieu en 2022, l’autre aura lieu en 2024. Sur 1 427 idées proposées par les habitant·e·s de Lyon, 110 ont été retenues lors du vote des citoyen·ne·s. Les projets sont variés, ils vont de la création d’une visite virtuelle des arêtes de poissons, ces réseaux souterrains datant de la période gallo-romaine, au verdissement de certains espaces publics, à l’installation de casiers solidaires pour les sans-abri ou enfin à l’installation d’une table d’échecs au parc Blandan. Cette initiative de démocratie participative en enthousiasme plus d’un·e !
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Le budget participatif | Ville de Lyon
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Visio-conférence avec Gwendolyne Delbos-Corfield, députée européenne EELV
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Nous poursuivons notre après-midi au local de l’association Récup et Gamelle pour un atelier de cuisine anti-gaspillage ! Salomé et sa collègue, membres de cette association, nous présente les enjeux de la lutte contre le gaspillage alimentaire :“En France, chaque personne gaspille en moyenne 30 kg de nourriture par an. Cela représente 159€ de nourriture perdue. Et encore, la part du consommateur dans le gaspillage alimentaire n’est que de 19% : au cours de la production, de la transformation, de la distribution et dans la restauration, beaucoup d’aliments sont perdus. Au total, sur toute la chaîne d’approvisionnement alimentaire, ce sont 10 millions de tonnes gaspillées chaque année.”L’association Récup et Gamelle entend allier écologie et social dans son initiative : elle vise particulièrement les populations les plus précaires. “Récup et Gamelle” fournit, entre autres, des recettes de cuisine, des ateliers de cuisine et une bocalerie solidaire. Chaque semaine, l’association récupère plus de 500 kg d’invendus.
Les aliments les plus gaspillés sont les légumes, le pain et les fruits : c’est avec eux que l’on cuisine ce soir. Au menu : cookies, muffins, pancakes, smoothies et gaspacho.
Le saviez-vous ? A domicile, en France, 30kg de nourriture sont jetées par an et par personne. C’est l’équivalent d’un repas par semaine !
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Récup et gamelles (recupetgamelles.fr)
Aktivität am VormittagFahrradtour durch Lyon mit Siméon Baldit de Barral vom Verein On The Green Road.
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Freitag, 30. Mai: Lyon im Regen. Wir ziehen uns Regenjacken und Warnwesten an und machen eine Fahrradtour durch Lyon, vom Goethe-Institut zum Croix-Rousse-Tunnel, entlang der Rhône und dann der Saône.
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Durch den Croix-Rousse-Tunnel.
Unser Leiter ist Siméon von On The Green Road, einem Verein, der sanfte und umweltfreundliche Reise- und Transportmethoden fördert. Dieser von zwei Cousins gegründete Verein begleitet bei der Vorbereitung von Reisen, die reich an Begegnungen und verantwortungsvoll sind. Sie legen den Schwerpunkt auf die Wahl des saubersten Transportmittels und den CO2-Ausgleich dieser Reisen. Sie ermutigen dazu, nicht einfach ein Häkchen in einer Liste von Ländern zu machen, sondern einzigartige Momente zu schaffen, indem man Kulturen entdeckt und miteinander in den Austausch kommt.
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Seit Dienstagabend sind in Lyon Unruhen ausgebrochen, nachdem ein junger Mann bei einer Verkehrskontrolle von einem Polizisten aus nächster Nähe erschossen wurde.
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Siméon zeigt uns die Pläne der Voies Lyonnaises: große Radwegeachsen, die Lyon durchqueren und Gemeinden wie Quincieux und Givors auf 56 km oder Jonage und Saint-Genis-Laval (37 km) miteinander verbinden werden. Im Jahr 2030 wird es 13 Strecken der Voies Lyonnaises geben, was 355 km Straßennetz entspricht! Aktuell, im Juni 2023, kann man bereits Ausschnitte dieses gigantischen Netzes sehen, vor allem an den Ufern der Rhône.
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Die Metropole Lyon hat große Ambitionen für die Entwicklung des Radverkehrs in und um die Stadt.
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Während des Mittagessens, Gespräch mit Hélène Dromain, Vizepräsidentin der Metropolregion Lyon
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Am Mittag erreichen wir hungrig das Goethe-Institut in Lyon, wo uns ein Mittagessen mit einem Gespräch mit Hélène Dromain erwartet, der Vizepräsidentin der Metropole de Lyon, die für europäische und internationale Beziehungen, dezentralisierte Zusammenarbeit und Tourismus zuständig ist.
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Zwischen zwei Bissen stellen wir ihr Fragen zu den Projekten zur Umgestaltung des Verkehrswesens, zu den Strategien der Metropole, um den Flusstourismus umweltfreundlicher zu gestalten, zum Umgang mit der Verschmutzung durch perfluorierte Kohlenwasserstoffe im Tal der Chemie...
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Aktivität am Nachmittag Präsentation des partizipativen Bürgerhaushalts mit Nicole Crochet von der Stadt Lyon.
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Gegen 14.00 Uhr, nach eineinhalb Stunden Austausch mit Hélène Dromain stellt uns Nicole Crochet, Projektleiterin des Bürgerhaushalts der Stadt Lyon, die Grundzüge dieses Projekts vor, das von der Stadt 2022 initiiert wurde. Es handelt sich um eine Dotierung von 25 Millionen Euro zur Finanzierung von Projekten, die von den Lyonerinnen und Lyonern vorgeschlagen und angenommen werden. Mit diesem Budget sind zwei Projektrunden geplant: Eine fand bereits 2022 statt, die andere wird 2024 stattfinden. Von 1.427 Ideen, die von den Einwohner*innen Lyons vorgeschlagen wurden, wurden 110 bei der Abstimmung der Bürgerinnen und Bürger ausgewählt. Die Projekte sind vielfältig und reichen von der Schaffung eines virtuellen Rundgangs durch die „Fischgräten“, unterirdische Netzwerke aus der gallo-römischen Zeit, über die Begrünung einiger öffentlicher Plätze, die Einrichtung von Schließfächern für Obdachlose bis hin zur Aufstellung eines Schachtisches im Parc Blandan. Diese Initiative der partizipativen Demokratie hat viele begeistert!Bildrechte © Natasha Vayre
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Videokonferenz mit Gwendolyne Delbos-Corfield, Mitglied des Europäischen Parlaments (EELV: Die Grünen)
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Wir setzen unser Programm im Lokal des Vereins Récup et Gamelle mit einem Zero-Waste-Kochworkshop fort! Salomé und ihre Kollegin, Mitglieder dieses Vereins, geben uns eine kurze Einführung in die Herausforderungen des Kampfes gegen die Lebensmittelverschwendung:"In Frankreich verschwendet jede Person im Durchschnitt 30 kg Lebensmittel pro Jahr. Das entspricht 159€ an verlorenen Lebensmitteln. Der Anteil der Verbraucher an der Lebensmittelverschwendung beträgt dabei nur 19%: Während der Produktion, der Verarbeitung, des Vertriebs und in der Gastronomie gehen viele Lebensmittel verloren. Insgesamt werden in der gesamten Lebensmittelversorgungskette jedes Jahr 10 Millionen Tonnen verschwendet”.Der Verein Récup et Gamelle will mit seiner Initiative Ökologie und Soziales verbinden: Er zielt insbesondere auf die am stärksten benachteiligten Bevölkerungsgruppen ab. Récup et Gamelle stellt unter anderem Kochrezepte, Kochworkshops und eine solidarische Bocalerie (Einkochen von Lebensmitteln in Gläsern) zur Verfügung.Jede Woche sammelt der Verein über 500 kg unverkaufte Lebensmittel.
Die am meisten verschwendeten Lebensmittel sind Gemüse, Brot und Obst: Mit ihnen wird heute Abend gekocht. Auf dem Speiseplan stehen Kekse, Muffins, Pfannkuchen, Smoothies und Gazpacho.
Wussten Sie, dass in Frankreich pro Jahr und Person 30 kg Lebensmittel zu Hause weggeworfen werden. Das entspricht einer Mahlzeit pro Woche!
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7ème jour - 7. Tag
Activité du matinMatinée du samedi 1er juillet : atelier bilan “Ambassadeurs·rices de la transformation de la ville” avec Véronique Rizzi (Imagineo)
Samedi 1er juillet, voilà que le dernier jour de cette rencontre est déjà arrivé. Voici venue l’heure de faire le bilan sur cette semaine : qu’avons-nous appris et que voulons-nous changer désormais ? Véronique (assise à droite), fondatrice de l’association Imagineo, nous accompagne dans cette démarche de réflexion… et de projection.
En petits groupes, nous débattons : que voulons-nous désormais mettre en œuvre ? Que voulons-nous faire de ces nouvelles connaissances et des initiatives que nous avons découvertes ? Certain·e·s réfléchissent à l’animation d’un compte sur les réseaux sociaux afin de pérenniser les liens que nous avons tissés durant cette semaine, d’autres veulent créer des groupes de discussion entre étudiant·e·s autour des enjeux de la décroissance, l’un·e envisage de passer à une alimentation moins carnée, l’autre à un engagement politique dans une association de lutte pour le climat. D'autres participants considèrent la participation à la prochaine réunion du conseil local comme une possibilité de s'engager politiquement dans leur propre quartier.
La dernière journée de l’échange franco-allemand a été l’occasion de faire un point sur l’expérience. Nous avons partagé, tous ensemble, les souvenirs qui nous ont le plus marqués, nous avons également pu discuter de ce qui pourrait être amélioré dans les prochaines éditions et ce qui doit être absolument conservé. Et très important, nous avons pu réfléchir sur l’impact que ce voyage et cet échange auront sur nos actions au quotidien pour participer à la transition vers des villes plus durables. Nous nous sommes fixé un objectif personnel à atteindre, pour enclencher une dynamique et passer à l’action. Ainsi cette expérience ne sera pas qu’un bon souvenir, mais aussi une impulsion pour l’avenir.
Pendant nos échanges, Jorge Bogumil, graphic designer de profession, remplit un grand tableau blanc de dessins et d’idées : il pose en images et en mots l’essentiel de nos réflexions.
Demain matin, les Allemand·e·s monteront dans le train et les Français·es retourneront à leurs occupations. En septembre, nous nous retrouverons encore une fois en visio-conférence pour échanger de ce que nous aurons fait de toutes nos idées et inspirations…
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Imagineo – Imaginons ensemble le monde de demain
Aktivität am VormittagSamstagvormittag, 1. Juli: Bilanz-Workshop "Vertreter*innen der Stadtumwandlung" mit Véronique Rizzi (Imagineo)
Samstag, 1. Juli: Der letzte Tag des Austauschs ist bereits angebrochen. Es ist an der Zeit, Bilanz zu ziehen: Was haben wir gelernt und was wollen wir ändern? Véronique (rechts auf dem Bild), die Gründerin des Vereins Imagineo, begleitet uns bei diesem Prozess der Reflexion ... und der Projektion.
In kleinen Gruppen diskutieren wir: Was wollen wir von nun an umsetzen? Was wollen wir mit dem neuen Wissen und den Initiativen, die wir entdeckt haben, machen? Einige denken darüber nach, ein Konto in den sozialen Netzwerken einzurichten, um die Beziehungen, die wir in dieser Woche geknüpft haben, dauerhaft zu erhalten. Andere wollen Diskussionsgruppen zum Thema Degrowth unter Studierenden gründen, weniger Fleisch essen oder sich politisch für den Klimaschutz engagieren. Die Teilnahme an der nächsten Ortsbeiratssitzung sehen weitere Teilnehmende als eine Möglichkeit an sich politisch im eigenen Stadtteil zu engagieren.
Der letzte Tag des deutsch-französischen Austauschs war eine gute Gelegenheit, über unsere Erfahrung nachzudenken. Wir tauschten uns über die Ereignisse aus, die uns am meisten beeindruckt haben, konnten auch darüber diskutieren, was in den nächsten Ausgaben verbessert werden könnte und was unbedingt beibehalten werden sollte. Und ganz wichtig: Wir konnten uns überlegen, wie sich diese Reise und dieser Austausch auf unser tägliches Handeln auswirken werden, um an der Transformation zu nachhaltigeren Städten mitzuwirken. Wir haben uns ein persönliches Ziel gesetzt, das wir erreichen wollen, um eine Dynamik in Gang zu setzen und zur Tat zu schreiten. So wird diese Erfahrung nicht nur eine gute Erinnerung sein, sondern auch ein Impuls für die Zukunft.
Während unseres Austauschs zeichnet Jorge Bogumil, ein Grafikdesigner, Zeichnungen und Ideen auf ein großes Whiteboard: Er hält die Grundideen unseres Austauschs in Bildern und Worten fest.
Am folgenden Tag werden die Deutschen in den Zug nach Frankfurt einsteigen und die Franzosen wieder in ihren Alltag zurückkehren. Im September werden wir uns noch einmal per Videokonferenz treffen, um uns darüber auszutauschen, was wir aus all unseren Ideen und Inspirationen gemacht haben...
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Imagineo – Imaginons ensemble le monde de demain